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    Le moulin du Gué Parfond ou le moulin de la Bégassière ?
     
    Peut être une image de plein air
     
    Entre Saint-Helen et Lanvallay, en la partie commune à celles-ci, il y a le ruisseau du Gué Parfond qui court, ou le ruisseau de Sainte-Suzane si nous préférons ces deux appellations dénommant différemment il est vrai la deuxième partie de ce même cours d'eau.
    Ce dernier, par son cours en cette partie limitrophe, sépare géographique l'une de l'autre ces deux communes.
     
    Ainsi provenant de Saint-Solen s'écoule au pied du château de la Bégassière assis en Saint-Hélen toujours le Gué Parfond; ainsi s'écoule au pied du même château le même ruisseau nommé Sainte-Suzanne celui-ci aujourd'hui séparant en ces terres toujours nos deux communes et de Saint-Hélen et de Lanvallay.
    En 1845 le grand géographe Ogée pour Saint-Solen parle de son moulin qu'il nomme : le moulin du Gué Parfond, moulin que personnellement il présente aussi avec les petites carrières de moellons granitiques présentes également en Saint-Solen.
     
    Peut être une image de plein air et arbre
     
    En vérité le dit moulin présenté par Ogée est "NON représenté" ici même en ce hameau et cela sur l'ensemble des différents plans cadastraux, que ces derniers soient ceux de 1811 ou bien de 1844, que ces mêmes plans soient ceux de Lanvallay, Tressaint et de Saint-Solen.
    Pourquoi cela ?
     
    Et pour le hameau du Gué Parfond, et aussi pour Saint-Solen dans sa totalité, il en ira de même en les différentes listes nominatives établies dès l'année 1836 ; ces listes énumèrent par hameau le nombre de feus au travers de leurs occupants respectifs, des métiers exercés aussi.
    En effet en ces mêmes listes dites nominatives jamais ne sera présentée en Saint-Solen, le Gué Parfond compris, soit la présence d'un moulin soit celle d'un meunier; et encore moins celle d'un moulin avec son propre meunier
    Alors moulin à eau ou pas moulin à eau en le hameau du "Gué Parfond" ?
    Y aurait-il pu y avoir confusion entre le "ruisseau" du Gué Parfond ET le "hameau" du Gué Parfond lui même ?
    Finalement serait-il aussi possible que ce même moulin dit du" Gué Parfond" soit en effet celui de la Bégassiere lui-même puisque celui-ci effectivement est assis sur le ruisseau du même nom, ruisseau nommé en son contrebas : ruisseau de Sainte-Suzanne ?
    Peut être une image de nature et arbre
     
    Le ruisseau de Saint-Suzanne n'est que le prolongement et la propre terminaison du Gué Parfond rappelons le.
     
    À défaut d’avoir eu assis sur ce ruisseau, ruisseau nommé le Gué Parfond à sa naissance et Sainte-Suzanne à sa fin, deux moulins à eau, à savoir un à Saint-Solen et un à Saint-Helen, la Vérité voudrait alors que le dit moulin du Gué Parfond aurait de tout temps été assis sur le sol de Saint-Helen et non pas sur celui de Saint-Solen.
     
    Se dressent donc sous ces arbres, assis sur les terres du château de la Begassiere, travaillant avec les eaux de Saint-Suzanne, ou celles du Gué Parfond puisque tel est aussi le nom de ce ruisseau, les murs encore entiers et toujours couverts d’un vieux moulin à farine qui fonctionnait encore au siècle dernier dans les années 1950.
     
    À sa droite était à son extrémité nord/ouest le logement du meunier. Le moulin, édifié en contrebas du château de la Bégassière, était alimenté par un étang situé en amont, situé entre lui même et la route de Dol; aujourd'hui celui-ci est désormais entièrement atterri et envahit par des arbres ici même déjà forestiers.
    Perpendiculaire à cet ensemble, côté logement, à nord/ouest, était encore présent au début du XX siècle un autre bâti ou grand logement; aujourd’hui celui-ci n’existe plus du tout.
    Le ruisseau du Gué Parfond naissant Gué Parfond et mourant Sainte-Suzanne nous faut-il donc voir aujourd'hui dans ce moulin, dit moulin "de la Begassiere" en Saint-Hélen, le moulin dit hier "du Gué Parfond à Saint-Solen" par Ogée lui même ?
     
    Peut être une image de carte
     
    L'appellation du "Gué Parfond" donnée par certains à TOUT le "cours" de ce ruisseau aurait-elle entrainée pour ce seul et même moulin une confusion de la part de l'auteur, donc une confusion de la part de Ogée, entre la dite terre de Saint-Hélen et le dit hameau du Gué Parfond à Saint-Solen ?
     

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    Embarcadères au port de Lanvallay...
     
    Peut être une image de pont
     
    Ci-dessus sont les deux anciens débarcadères devenus aujourd'hui que de simples galeries "couvertes" ; elles seront en effet reçu dans le corps même du chemin de halage lorsque celui-ci sera réalisé peu après 1829.
     
    L'actuel halage Hamon Ferron en 1829 en effet n'existait pas encore.
    En la première partie du XIX siècle venait effectivement mourir au plus près de l'eau que l'extrémité de grands jardins reliant alors la rue du Four à la rivière de Rance; ces derniers étaient cependant entourés de leur propres pourprins.
    A la hauteur de l'actuelle et ancienne tannerie, tannerie bien professionnel au XVIII siècle du sieur François de la Ville Allée, de son vivant "procureur du roi à Hédé" en 1786, une longue passerelle à nord reliait l'extrémité commune de tous ces jardins au milieu du pont lui même; le passage de servitude menant en 1786 au travers de jardins à cette passerelle, à cette chaussée, sera nommé le passage des tanneurs.
     
    La passerelle sera en 1786 nommée quant à elle : la chaussée des moulins.
    Au delà de cette même extrémité et vers nord il n'y avait donc plus aucun jardin, plus de terre, il n'y avait que l'eau, une eau venant en contact direct avec un bâti alors présent celui-ci assurant déjà l'angle avec le carouel de la Magdelaine; l'eau de la rivière ici même touchait aussi deux arrières cours, cours avant toute chose de déchargement pour toutes marchandises arrivant ici même par la Rance.
    Ce bâti en pans de bois, cité par actes écrits en 1671, sera entièrement démoli en 1829 pour être ensuite entièrement reconstruit...
     
    Ce bâti premier sera décrit en son intérieur en 1671; il comprenait alors plusieurs cuisines, plus embas, plusieurs étals, des galetas, plusieurs chambres et pièces en lesquelles était entreposé le sel...et en 1671 que du sel.
    Bien du sieur "Cuccillé Jan Lechappelier" ce bâti possédait aussi cour et en celle-ci également des dépendances et toilettes à deux trous avec anneaux ; le tout était relié directement à la rivière pour les besoins du déchargements de produits divers parvenant jusqu'ici par la seule voie de l'eau. En 1671pour le dit Jan Lechappelier ces mêmes produits semblent avoir été principalement que du sel.
    Ainsi dès l'année 1671 directement depuis la rivière en ces mêmes cours intérieures seront de cette façon débarquées diverses marchandises, et ce fameux sel chargés de taxes pour le dit sieur Jan Lechappelier.
     
    Peut être une image de carte
     
    Il en sera alors de même pour le logis d'à côté lui aussi possédant cour intérieure, lui aussi possédant dépendances et accès à la rivière. Celui-ci en 1638 appartiendra à Guillaume de Serville sieur des Vieilles-Navières en Evran de son vivant "fermier général" des biens temporels du prieuré lui même.
    Ce dernier mourra lors d'un voyage devant l'amener à Paris laissant alors seule à la tête de sa dite ferme temporel son épouse, Laurence de la Haye. En 1693 ce logis sera toujours entre les mains des héritiers des dits de "Serville" alors dits cette fois "sieur des Marets" en la rue du Four...L'un deux au lendemain de la Révolution sera l'un des premiers maires de Lanvallay, sera l'un des multiples possesseurs du château de la Landeboulou.
     
    Lorsque sera réalisé au lendemain de 1829 le halage aujourd'hui existant, le halage et son extrémité l'encrant au pont, seront réalisés en ce même endroit en sa structure profondes deux galeries, deux petits tunnels afin de toujours pouvoir continuer d'assurer "directement" ce même débarquement de marchandises diverses depuis la rivière.
    Arrivait alors au port de Dinan pas que du bois de charpente bien sur mais aussi en effet tout un ensemble de marchandises diverses dont notamment notre fameux sel et le cidre par exemple.
     
    Au XVIII siècle les dépendances de ces deux cours, toutes deux distinctes l'une de l'autre, deviendront toutes deux des ateliers de filatures...en notre temps présent toutes deux sont devenues des jardins clos de murs entièrement ouverts au ciel.
    Les galeries aujourd'hui toujours existent...le sel n'y transite plus, et le cidre non plus.

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    Le Gué Parfond...hameau de Saint-Solen.
     
    Aucune description de photo disponible.
    En face du hameau du Gué Parfond est  le château de la Vairie ; et en son bassin nait le ruisseau des épinettes. 
     
     
    Aucune description de photo disponible.
     
    Peut être une image de plein air et texte qui dit ’Grange Habitation octroi habitation’
     
    Peut être une image de mur de briques et plein air
     
    Peut être une image de plein air
     
    Le Gué Parfond...hameau de Saint-Solen.
     
    Dans un vide presque lunaire quelques maisons des XVIII et XIX siècles semblent toutes ici même avoir aujourd’hui pour seule et unique tâche celle de survivre.
    En cet ensemble nous avons relevé deux maisons datées, l’une de 1764 et l’autre de 1850.
    Il existe toutefois une maison beaucoup plus ancienne, la plus ancienne du hameau, une maison très probablement de XVII siècle au regard de sa propre porte aux jambages stylisés, au regard de ses fenêtres fleurdelisées, au regard de ses anciennes grilles de défense faites à chaud dans la masse même du fer.
    Cette maison en son propre temps, belle et notable, fut-elle en ce petit hameau celle qui assuma aussi, durant de longs lustres entiers, l’octroi lui même ?
    Une pierre de l'embrasure de sa porte d'entrée, à droite en entrant, contient un bien étrange symbole représentant "comme" une clef laquelle contiendrait dans son cercle, ou dans son propre anneau, une croix...Quel est la signification de ce symbole en cette embrasure sculptée ?
    N’oublions pas qu’au début du XIX siècle les droits d’octroi à Saint-Solen représentaient à eux seuls presque le double de toutes les taxes foncières et extraordinaires réunies...
    Cette maison malheureusement aujourd’hui n’est même plus l’ombre de ce qu’elle fut puisque en son sein désormais tout n’est que désordre pour ne pas dire ruine.
    Et pourtant elle est dans ses propres pierres toute la mémoire de ce petit hameau déjà présent au XVII siècle.
    Cette route désormais presque toujours déserte, presque toujours inerte de vie le cri de nombre d’enfants manquants, hier était l'un des deux axes principaux de Saint-Solen... et la vie ample donc y était.
    Aujourd’hui cet hameau contient 8 foyers dont deux familles en location...
    Cette vérité d’axe hier principal est attestée par ce seul panneau publicitaire, panneau peint et originel, panneau qui obligatoirement s’offrait à quiconque de Rennes sur Dinan arrivait, panneau à l'enseigne du Crédit Lyonnais banque qui fut créée en 1863.
    C'était hier quand ici même était d’un côté le tracé principal de la route reliant Dinan à Combourg quant de l’autre était le chemin allant de Dinan à Saint-Pierre de Plesguen ...alors toutes les routes menaient au Gué -Parfond.
    Dès aujourd’hui ce panneau fait aussi partie intégrante de notre passé social... et demain il ne sera plus tout comme le petit moulin du Gué Parfond disparu quant à lui il y a déjà très fort longtemps.

    Peut être une image de mur de briques, plein air et arbre
     
    Peut être une image de plein air et texte qui dit ’11:08 5/JUN/2016’
     Peut être une image de mur de briques et plein air

     Peut être une image de plein air et mur de briquesAucune description de photo disponible.

    Peut être une image de arbre et nature

    Peut être une image de arbre et plein air

    Peut être une image de plein air


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    Le Gué-Parfond ou le Ruisseau de Sainte-Suzanne.
     
    Peut être une image de arbre, nature et étendue d’eau
     
     
     
     
    Il court...il court... il court...tel le furet.
    Il existe un très joli petit ruisseau traversant presque toute notre commune de "Lanvallay - Tressaint - Saint-Solen - Saint-Piat"...tout petit serpent de seulement 4.38 km de long il parait.
     
    Il prend en effet naissance dans la petite forêt de Tressaint, proche du hameau de la Ville Ameline alimentant encore de nos jour son ancien lavoir, dorénavant par tous abandonné et toujours seul, puis il s'évade s’enfuyant vers celle de Saint-Solen, Saint-Solen et son château, le château de la Vairie dont encore hier il alimentait les magnifiques bassins d’eau; de nos jours la Vairie est un grand centre d’élevage de chevaux de race.
     
    Avec forte discrétion il parvient à la porte du Mezerais très rare petit village assis sur deux communes, village assis sur Saint-Solen, village assis aussi sur Saint-Helen ; en amont de celui-ci au petit hameau du Gué Parfond hier il donna son propre nom tout en le traversant sans réellement le toucher tant sa retenue alors déjà était grande, tant la roue du moulin qu'il faisait fonctionner avec lui en silence aussi tournait. Depuis longtemps déjà elle ne tourne plus, depuis longtemps déjà à jamais elle a disparue.
    En ce lieu aujourd'hui tout semble presque mort, tout semble à jamais endormit ; même les quelques rares maisons anciennes formant au XVIII siècle ce hameau semblent toutes être dans un songe qui jamais plus ne se réveillera.
    Dans le plus grand des mutismes, discret et à l’abri de tout regard inquisiteur, il descend toujours sans bruit entre hautes herbes, bouleaux et frênes courant en serpentant vers la rivière presque toute proche, courant vers Saint-Piat il y a très longtemps tout petit village seigneurial assis en Pleudihen.
     
    En frôlant la très ancienne terre noble de Bois Fougères il continue entre creux et valons, entre arbres et ciel avant de s’engouffrer dans la tiède pénombre d'une toute petite forêt, une forêt presque enchanteresse; il devient ici même le plus joli de tous nos ruisseaux.
     
    En cet endroit préservé par la nature elle même nous entrons cependant dans une charmante parcelle PRIVÉE.
    Si cependant nous la respectons dans sa quiétude comme elle même toujours nous respecte pour tout ce que nous sommes Charles ne nous dira rien mais nous lancera au contraire un grand sourire.
     
    En ce jardin si naturel tout est vrai tant ce petit ruisseau sur lui même se tourne et retourne avec toute la souplesse que seuls les jeunes félins possèdent; et plus encore ses fragiles et minuscules courbes toutes plus magiques les unes que les autres reflètent avec insulte les nuages et les branches mortes.
    À la sortie de ce sous-bois né aux Emplats, proche de Bois-Colin et de son vieux chemin vicinal, proche de l’ancienne terre noble de la Guerche hier château, puis au XX siècle école, aujourd’hui bien privé, il passe sous la route menant à Dol...en cet endroit par magie il reçoit un autre petit ruisseau né lui sur le sol de Saint-Helen et change ainsi brusquement de nom pour prendre le nom très religieux de Sainte-Suzanne.
     
    En contrebas de cette ancienne grande voie gallo-romaine, aujourd’hui route départementale, il rend l’âme à la vouivre dans l’immense havre de paix de Chantoiseau, au plus près des anciennes argiles marneuses hier au XIX siècle avec forte gourmandise tant exploitées; en cet endroit à l’image de son nom tout est féérique...il est ruisseau à Lanvallay.

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  • 1811-1844. En Lanvallay cette jolie maison.

     

    Entre 1811 et 1844, en haut de la rue de l’Abbaye, au n°1 actuel, fut édifiée cette ancienne jolie maison enjambant partiellement la vieille rue de l'Abbaye tel un aiglon voulant quitter son nid..
     
    Absente sur les premiers plans napoléoniens réalisés en 1811cette belle grande  maison apparaît sur les seconds plans cadastraux eux établis en 1844; dans la logique des faits cette maison fut donc levée de terre en la première partie du XIX siècle, quelques années seulement avant que soit crée le pont de Nemours lui même, ou l’actuel viaduc. Celui-ci sera inauguré en 1852.
     
    Ici, à la gauche immédiate de cette maison, donc à la droite de l’actuelle étroite amorce du chemin de l’Envay, aujourd’hui le chemin du Mont en Va, est sa grande cour non représentée sur les dits "seconds plans cadastraux" de 1844.
     Peut être une image de nature et monument
     
     
    En son amont le panorama ici tout au long de l'année, le regard lancé au dessus des vieux remparts de Dinan présents au loin depuis le XIII siècle, est vraiment magnifique et toujours étiré qu'il est sous le seul trait de l'horizon; le petit chemin dans sa remonté, aujourd'hui sauvage, tel un trait union vous relie à des émotions subites et chasseresses, toutes évasions fortes et personnelles mais malheureusement pour trop d'entre-nous toujours éphémères. Seule la lumière de l'automne ici même pour tous est inoubliable...
     
    Au lendemain de la réalisation de la maison sa grande cour actuelle n’existait pas encore; en effet sur ce sol était le début du chemin de l’Envay et son amorce, alors vicinale, entrée d'un chemin mille fois ancien menant toujours aujourd'hui au vieux bourg de la commune, était en 1811 beaucoup plus large, et donc beaucoup plus spacieuse qu'elle ne l'est aujourd'hui.
     
     
    Dans la continuité de la réalisation du Pont de Nemours, le dit viaduc, sera forcément réalisée pour sa desserte l’actuelle grande route du Lion d’Or ; cette maison, hier desservie que par la rue séculaire de l'Abbaye et son prolongement, sera du jour au lendemain ainsi desservie "aussi" par cette toute jeune route.
     
     La nouvelle route du Lion d'Or, elle tire son nom des auberges en lesquelles on trouvait alors "lit pour dormir", du lit où l'on dort, dans sa propre utilisation participera t’elle ainsi à sa façon, malgré la présence de la Vieille côte de la rue de l'Abbaye assise au plus près de lui, à une certaine "mise au banc" de ce même très vieux chemin ?
     
    Peut être une image de arbre et nature
     
     Et dire que celui-ci pendant tant de longs siècles tous hier séculiers inlassablement a relié directement le quartier de la Magdelaine au bourg de Lanvallay ; la première fois il y a presque un millénaire déjà !
     
    Cette mise au banc de ce chemin alors vicinal sera t’elle à l’origine même de la réalisation cette grande cour ?
     
    En 1693, à la place de cette maison, était assise une terre labourable beaucoup plus grande, beaucoup plus riche et généreuse puisque celle-ci descendait en effet jusqu’à la rivière; appartenant au sieur de la Villeneuve Maingard, Alain de son prénom, celui-ci voyant son premier jour le 06/01/1618 ; elle s’appelait alors la vallée des Clouges.
     
    En 1811, toujours dans sa totalité première, alors bien foncier du sieur Thomas Huers, celle même terre aura pour nouveau nom : la vallée des noyers...L’actuelle petite maison assise en son fond, au plus près du canal, sera elle réalisée en 1834 cette même construction amenant de faite une division parcellaire de cette même terre.
     
    NB. La plus ancienne forme écrite du chemin du Mont en va, ainsi dénommé aujourd’hui, date de 1671; elle est alors en effet écrite sous la forme : le chemin de Lenvay.
    Dans l’écriture de cette appellation il nous faut probablement lire "l’amorce" du nom de Lanvallay...ou celui du "chemin menant en Lanvallay".
     
    Peut être une image de carte et texte qui dit ’Laurent Bouesnard Lenvay 1844 844 Thomas Huers au V.1870 Halé Dinan jardın Piere Follen’

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