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histoire de lanvallay

- Dinan et son Etymologie

Dinan et son Etymologie 
Le Domesday book

 

Dinan et son Etymologie

Le Domesday ou Doomsday Book, traduit par le sens littéraire: "le Jugement dernier", fut rédigé en 1085 à la demande de Guillaume de Normandie, roi d'Angleterre,  afin de référencer l'ensemble des biens relevant de chaque propriétaire foncier et de pouvoir ainsi appliquer, sur chacun de ces mêmes biens,  une taxe à sa plus juste valeur financière. En tête de cette page apparait le nom de Raoulet de Mortemer lequel, issu de la ville de Mortemer, en Haut Poitou, s'était vu récompenser par des terres au lendemain de la bataille d'Hasting. La terre de Dinham est présentée et évaluée en ce même livre et cela bien avant que Josce de Dinan, fils de Geoffroy 1er de Dinan, en prenne possession dans le milieu du 12ème siècle lors de la guerre de succession d'Angleterre laquelle divisera entre eux les seigneurs de Dinan aussi.              Joscelin  de Dinan ou Josce de Dinham,  lord de Ludlow et seigneur de la terre de Dinham également, décédant en l'année 1166, prendra en effet le parti de la Reine Mathilde, épouse de Geoffroy Plantagenest, fille d'Henri 1er et mère du futur roi Henry II ; le propre frère de Josce, Alain de Dinan-Becherel prendra  lui à l'inverse de son dit frère le parti d'Estienne de Blois lequel, petit-fils de Guillaume le Conquérant , était par ce fait même aussi le cousin germain de la dite reine Mathilde. Estienne de Blois  s'opposera à Mathilde en effet prétendant lui aussi à la couronne laissée vacante à la mort du dit Henry 1er père de Mathilde.  [Etienne III ou Stephen III de Blois eu pour parents Estienne II de Blois et Adèle d'Angleterre soeur d'Henry 1er roi d'Angleterre. Son frère Henry deviendra évesque de l'abbaye de Winchester quand leur frère aisné à tous deux, Thibaut de Blois, héritier principal de leur père Estienne II de Blois, recevra les comtés de Blois et de Champagne. Nous assistons au sein de cette famille au principe même de la division des biens seigneuriaux hérités, division octroyant au fils aisné l'ensemble des biens paternels originels, tous situés en dehors du royaume d'Angleterre quand son cadet, frère puisné, héritera quant à lui de la nouvelle ou des nouvelles seigneuries situées quant à elles en Angleterre. Ce principe de la "distribution" des biens hérités sera l'une des causes de la fragilisation se produisant au sein même de ces familles seigneuriales lesquelles se diviseront d'une façon définitive. Il en sera de même pour la famille seigneuriale de Dinan. Mariée en première noce à Henry de Bavière, empereur du Saint-Empire Germanique, union n'ayant portée aucun fruit, Mathilde gardera néanmoins le surnom de Mathilde l'Emperesse. Si Estienne III de Blois par son union contractée avec Mathilde de Boulogne deviendra aussi seigneur de cette terre il recevra de son oncle Henry 1er le comté de Mortain; parmi ses enfants il faut noter l'existence de Marie laquelle deviendra Abbesse de Saint-Sulpice de Rennes et Mathilde laquelle prendra pour époux Richard II dit de Goz, seigneur d'Avranches et seigneur aussi par son père du comté de Chester, terres anglaises. Fils d'Estienne et frère et de Marie et de Mathilde Guillaume de Blois entrera en possession du comté de Mortain; sans enfant son comté retournera à la Couronne. Possession de Richard Coeur de Lion puis de son frère Jean sans Terre, tous fils héritiers du dit Henry II roi d'Angleterre, tous deux petits-fils de la dite Malthilde l'Emperesse,  le comté de Mortain sera récupéré par Philippe Auguste, en 1204 exactement, lorsque ce dernier réussira à entrer en possession de nombreuses terres normandes hier biens de l'empire Plantagenest ].

 

Dinan-Dinham

 

1039.  Dinan et son appellation
Le rôle défensif de Dinan ainsi que son nom sont cités tous deux dans l'acte de fondation du prieuré du Pont à Dinan lequel est rédigé au tout début du 12ème siècle, avant 1118, année en laquelle décède Guillaume maître abbé de Saint-Florent de Saumur. La première apparition du nom de ‘Dinan’ surgit cependant dans l’Histoire au lendemain de la mort du duc Alain III, en 1039, lorsque son épouse, Berthe de Blois,  fit un don à l’abbaye de Saint-Georges de Rennes (Cela au travers de la personne de Josselin de Dinan. Les liens de fratrie unissant ce premier seigneur de Dinan avec le vicomte Haimon, sont très clairement établit dans une charte relative à des dons que fit à l'abbaye de Redon leur frère à tous deux, Junguené archevêque de Dol. Cette charte est représentée ci-dessous). L’apparition en Angleterre de l’appellation de Dinan, laquelle s’écrit aussi Dinan, nom que l’anglicanisme va moderniser en Dinham ou Dynhams remonte, quant à elle, au très fameux Domesday Book (ce livre rédigé en 1068 recense, à la demande de Guillaume le Conquérant, l’ensemble des biens fonciers d’Angleterre afin de permettre une meilleure  imposition de ces terres hier nouvellement conquises) dans lequel elle désigne déjà une terre du comté de Gwent sur les Marches Galloises dont Josselin de Dinan sera, dans le siècle suivant, l’un des seigneurs Capitaines : Josselin de Dinan, seigneur de Dynhams  (Josce de Diham eu pour père  Geoffroy 1er de Dinan celui-là même qui autorisera l'édification du prieuré du pont à Dinan). L’écriture moderne de ‘Dinham’ a laissé longtemps penser qu’une origine linguistique Saxonne pouvait lui être appliquée mais la présence écrite de sa forme initiale de Dinan, dans le Domesday Book, ainsi que sa racine ‘Din ’ laissent plutôt  envisager aujourd’hui une origine celtique. Le mot gallois ‘Din’  (Dun en Irlande) dans sa forme originelle, en Angleterre, était utilisé pour désigner soit une colline soit une roche haute ; puis est venu le terme ‘Dinas’ utilisé très fréquemment pour désigner soit  un village fortifié ou bien une ville entourée de murs. L’appellation de Dinan,  ville fortifiée et perchée au dessus de la rivière de Rance, au plus près de chez nous, a donc très probablement la même origine orthographique. Le simple hasard, lié à une écriture, a voulu qu’à la fin du 11ème siècle un seigneur de Dinan, prénommé Josselin, né en Bretagne, soit nommé seigneur du Château et des terres de Dinham, biens seigneuriaux situés à la frontière des pays de Galles. Cette appellation dite de Dinham  a été reprise ensuite pour désigner cette même contrée nommé Dinan par le Domesday Book peu après 1068, année en laquelle se déroula la bataille de Hasting. L’histoire a gardé la trace écrite de la présence des seigneurs de Dinan dans ce comté dès la fin du 12ème siècle. En effet Josselin (Josce) de Dinan et son petit-neveu, (Celui-ci étant Geoffrey 1er de Dinham, fils Oliver de Dinham ou Olivier 3ème du nom, seigneur de Dinan et possesseur des manoirs de Helfort et de Notuella, celui-là même qui procédera à la fondation du prieuré de Saint-Malo de Dinan finissant ses jours en tant que moine entre ses murs. Souche des seigneurs de Hartland, Olivier 3ème du nom eut pour père Olivier de Dinan 2ème du nom et pour aïeul Geoffroy 1er de Dinan celui-là même qui donna aux moines de Marmoutier la première église appelée église de Saint-Malo de Dinan) ce dernier nommé Geoffroy de Dinan quant à lui, offrirent ensemble dans les heures du 12ème siècle la terre de Stoke relevant de la seigneurie de Hartland pour permettre la fondation d’une abbaye de l’ordre de Saint-Augustin. Les seigneurs de Dinham seront propriétaires de cette seigneurie dite de Hartland pendant presque 3 siècles et cette dernière sera, parmi les autres terres et manoirs alors en leur possession, peut-être la plus importante en terme de revenus financiers. Cette famille sera également propriétaire du castel de Hemyock dans le Hartlan Devon, ce château restant dans cette famille seigneuriale jusqu’à la mort du dernier enfant mâle survenue en 1502.

 

 

Voila ce que dit Benjamin-Philibert Jolivet, en 1854, quant il écrivit son ouvrage intitulé :  Les Côtes du Nord, histoire et géographie de toutes les villes et communes du département :         L'origine du nom de Dinan a fort préoccupé les archéologues. Les uns ont vu dans cette ville la capitale des Diablintes, et l'ont appelée : Noiodenum; les autres n'ont fait remonter son origine qu'au sixième siècle, et lui donne pour nom Dionacum. Rien ne nous semblant vérifier ces deux assertions, nous avons cherché dans la langue celtique elle-même l'étymologie d'un mot que nous ne pouvons croire latin. Dun, qui signifie Colline, et d'où a été fait le mot Dune ou Din, qui signifie ville fortifiée, sont les deux mots auxquels nous pouvons raisonnablement demander l'étymologie de Dinan; or, Dun nous parait celui qu'il faut adopter. Cette hypothèse s'appuie au reste sur une autorité respectable : Cambden, explique l'origine de Downham, ville du comté de Norfolck, par les mots Saxons Dun, colline, et Ham, habitation. Dinan fut donc, selon nous, primitivement Dunham, qui se prononçait Dinham et cette opinion est confirmée par le même savant auteur, qui regarde le nom de Dinanis ou de Dinham comme étant une imitation de Dinan dans la Bretagne armoricaine, et qui fait descendre de la maison de ce nom la famille anglaise de Dinham. Cette étymologie détruit complètement, ce qui nous semble, celle qui, s'appuyant sur le mot Din, ne peut expliquer la terminaison An. Il nous reste à ajouter que quelques auteurs ont prétendu qu'avant l'invasion des Romains, Dinan était déjà l'une des principales stations des Gaulois qui occupaient cette contrée.

 Dinan et son Etymologie

 

Charte de Donation de Junguené à l’abbaye Saint-Sauveur de Redon

 

Notum sit omnibus nostris successoribus qualiter ego Junkeneus Archiepiscopus cum consilio fratrum meorum, postulante Catwallomo venerabili Abbate quamdam plebiculam Guernidell nomine cum silvis , terris, aquis aquarumque decursibus  atque exclusis  in eleemosynam perpetuam S;Salvatori, hoc est nostro redemptoris pro redemptione animae mea , et patris  atque matris fratrum quoque  meorm animabus dedi, sed ea conventione ut medietas illius terrae, quae fuerat Karadoci cujusdam mei vassalli, si eam ipse vellet tenere, de abbate recipere et ei ex ipsa deserviret; medietas vero alias in dominio sancti loci et in usu monachorum qui cotidie Deum deprecantur pro nobis permaneret; et Istud donum per consilium et autoritatem fratrum meorum feci Haymoni videlicet Vicecom et Goszelini et Riwaloni. Quod etiam  in Conventu puplico de Redonis in praesentia Domini nostri Alani totius Britanniae pricipis , ipso  annuente , confirmavi  et testibus roboravi.Ego Junkeneus qui hoc  donum dedi cum fratribus mei Haimoni, Goszelino, atque nostrorum si quis seu  quilibet   extraneorum invadere praesumpserit ex Salvatoris mundi  cui  donata est et sanctorum omnium  et ex mea auctoritate sit ille excommunicatus. Alanus Comes cum fratre Eudone testi; Warinus Redon Episc.et Riwallonus Vicarius, et Riwaldus Butellarius et de nostris hominibus  Hato et Willelmus Butellarius testes. Catwallonus Abbas. Hogonan Prior et Sansoiarnus Mon. Cartulaire de Redon.

 

Traduction

Qu’il soit connu à tous nos successeurs comment moi Junkeneus (Junguené)  avec les conseils de mes frères, à la demande du vénérable abbé Catwalonus (Catwallon, abbé de Saint-Sauveur de Redon en 1019), je donne une paroisse nommée Guenidell (aujourd'hui Gannedel, au nord ouest de Redon. Comment cette terre a t-elle pu être un bien en indivis entre Junguené et ses frères? Il nous faut nous rappeler ici que tout au long des 9ème et 10ème siècles cette région fut déposée entre les mains de la famille du machetiern Iarnwocon, famille dans laquelle apparait le prénom Riuualt ou Riwallon. Roianteline, épouse de Haimon et mère de Junguené et de Josselin de Dinan en autre, est précisée dans une charte comme étant la fille de Riuual; l'origine de la famille seigneuriale de Dinan ne trouverait-elle pas, par cette terre appartenant à l'ensemble des enfants de Roiteline, ses propres racines en cette même région ?) avec ses bois, terres, les point d’eau de ses rivières en aumônes exclusives et perpétuelles à Saint-Sauveur (l’abbaye Saint-Sauveur de Redon laquelle fut créée par le moine Convoyon) qui est notre Rédempteur pour la rédemption de nos âmes, de celle de mon père, ma mère, mes frères et de mon âme aussi. De fait l'accord est la moitié de la terre qui avait été à Karadoci un certains de mes vassaux , il souhaite qu'un Abbé la reçoive et la détienne de lui pour desservir. Mais l'autre moitié du Domaine pour l'utilisation des moines lesquels en permanence prient Dieu pour nous. Et ce don je l’ai fait sur les conseils et autorisation de mes frères , à savoir Hamon vicomte et Goszelini (Josselin seigneur de Dinan. Sur cet acte la seigneurie de Dinan n’est pas précisée tout comme la seigneurie de Combourg. Cela laisse supposer que ces deux seigneuries n’étaient pas encore créées lorsque cette charte fut rédigée en présence du vicomte Haymon frère de Josselin et de Riwallon.) et Riwalloni (Riwallon seigneur de Combourg). C’est aussi en assemblée public à Redon en présence de notre seigneur Alain (Alain duc de Bretagne lequel meurt en 1039: cette charte est donc antérieure à 1039. Il nous faut rappeler ici que la terre de Dinan ne fut citée pour la première fois qu'au lendemain de la mort d'Alain et cela lors d'une donation faite par son épouse; le terre est citée au travers de Josselin lequel, témoin, est présenté comme étant Goscelinus de Dinan) prince de toute la Bretagne, par son sceau que j’ai confirmé et renforcé ce don. J’ai, Junquené, donné ce don avec mes frères Haimon et Josselin et le cas échéant, si l’un d’entre nous ou tout étranger envahit le monde de Saint-Sauveur, par l’Autorité du Sauveur du monde et de celle de tous les Saints, il sera excommunié. Témoins le Comte Alain et son frère Eudes, Warin évêque de Redon, Riwallon vicaire, Riwal Butelarius et nos hommes Hato et Guillaume Butellarius. Témoins Cathwamonus Abbé . Hogonan Prieur et Sausoiarnus Mon. Cartulaire de Redon.

 

 

 Pour m.rojas...

Travail réalisé avec la thèse de monsieur Sébastien Legros

 

Télécharger « Geoffroy-fils-de-Riwallon-Saint-Berthevin-de-la-tanniere-ter.doc »

 

Télécharger « Essai de généalogie entre Gofredus fils Riwallon et Robert de Mortain possesseur de l'église et moulin de Gorron»

 

Télécharger « Avranches-Mortain-Gorron-arbre-second-1.doc »

 

Télécharger « Pour Martha. Arbre Gorron.doc du 14/02/2015»

 

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J
daniel.pichot@univ-rennes2.fr <daniel.pichot@univ-rennes2.fr
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M
Jean Paul, Will take Into consideration this information and search in this direction. I Know That His First Robert divorced wife.  <br /> Will keep you informed.  <br /> Also, since you are an author, I am trying to get intouch with Sebastian LeGros or Professor Daniel Pichot.  They wrote about the de Laval family and the Dol/Combourg's connection.  They too mention Geoffroi but nothing about his marriage.  If you can find an email address or address that I could contact them to clarify this issue.  I know that Professor Pichot is a staff member at the University of Rennes. <br /> Any information would be appreciated. <br /> Regards, <br /> M Rojas<br />  <br />  <br />  
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J
Bonsoir Martha<br /> - Il est vrai que la terre de Gorron relie très implicitement Robert de Mortain à l'épouse de Goffredus Riwallonius filius. Robert de Mortain reçoit en effet la dite seigneurie de Gorron en fief des propres mains de son demi-frère, Guillaume de Normandie. La seigneurie de Gorron, en tant que telle, ne semble ne pas avoir existé avant cela... Geoffroy fils de Riwallon, enfant supposé de la maison de Dol-Combourg, possesseur de terres assises en la dite seigneurie de Gorron, semble donc bel et bien recevoir ces terres assises en Gorron du fait même de son mariage. Quels étaient alors les liens généalogiques ayant pu unit la dite femme de Geoffroy fils de Riwallon  à Robert de Mortain seigneur en Gorron ?<br /> - Robert de Mortain, né vers 1030, semble être né à la même génération que celle de Geoffroy fils de Riwallon celui-ci naissant également vers 1030-1040. La femme de Geoffroy était-elle une enfant de Robert de Mortain née alors que Robert était déjà Vieillissant, inconnue en ce cas par l'Histoire elle même ?  Ou bien était-elle une demie soeur de Robert de Mortain l'histoire de retenant  de ce dernier que trois filles dont aucune, en effet, ne semble  avoir été l'épouse d'un Geoffroy fils de Riwallon ?<br /> - Il faut définitivement ne plus faire aucun rapprochement entre Geoffroy fils de Riwallon et Gervais de Dol. En effet un trop grand écart générationnel oppose ces deux personnages. En effet si Geoffroy fils de Riwallon semble devoir naitre lui vers 1030-1040 Gervais de Dinan, fait chevalier à Antioche vers 1111-1112 par Cecille de France, semble lui devoir naitre vers 1080-1090. En effet certains le disent même fils de Hemon ou Haimon de Dol. Ci dessus, au dessus de notre première conversation, un arbre de généalogie fait pour vous lequel reprend plus clairement les deux possibilités de l'origine du fief de Gorron détenus par Geoffroy fils de Riwallon...<br /> Voilà Martha...<br /> Jean-Pierre
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M
Jean Pierre, still en ce long search for Geoffrey Rivallon Combourgs of 'spouse. Also I am like you Convinced of the connection with Robert of Mortain. However it is said that he had three daughters.  Non of which show being married to Geoffroi.  Another point, I was unable to find any bastards of Robert de Mortain.  Another point, the name William is consistant in the descendants.  I think(only think) that it for William the Conqueror.  If there is a connection, I was thinking that maybe some distant relative of Williams' but where to start?  I know that William favored the family and would want that connection as a possible power connection to Dol.  <br /> I would appreciate any comments or ideas. <br /> Good day. <br /> M. Rojas<br />  
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H
Bonjour Monsieur, Je viens de lire la documentation sur ces personnages qui, d'après mes recherches font parti de mes ancêtres,  je me demande s'ils le sont réellement. Quel imbroglio ! Enfin puisque nous sommes tous cousins.C'est dommage les textes sont écrits  en petites lettres.Bonne journée, R.Huet
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