• - Origine orthographique de Lanvallay

     Lanvallay et son orthographie

    ou

    - Lanualae - 

     

         Origine orthographique de LanvallayOrigine orthographique de Lanvallay

     

     

     

     

     

    Chartes photographiées sur micro-films aux A.R.D des Côtes d'Armor

     

    A droite charte originelle datée de 1201 et contenant dans son texte le terme : Parrochia Lanualae. Rédigée en cette dite année 1201 cette charte présente au travers de son texte l'aumonier de la paroisse de Lanvallay lequel est appelé : Eudone capellan  de Lanualae ou Eudes chapelain de Lanvallay. Une copie de cette charte illisible pour nous, puisque très "condensée", fut réalisée au XVII siècle dans un latin complet et non abrégé quant à lui. Comparez les deux chartes et comprenez ainsi le principe même de l'abréviation de l'écriture du latin ancien, abréviation rendant toute charte latine identique incompréhensible pour nous.                                                                                                                                                       L'orthographe des mots latins, en certains mots écrits, y est souvent différente aussi. C'est cette "copie originelle latine" qui a été traduite après que J.Geslin de Bourgogne en ait donné une transcription dans son ouvrage consacré à l'évêché de Saint-Brieuc.                                                    Référencée aux Archives :  DDML H.3360V cette même copie ne peut toutefois remplacer la charte originelle de 1201 ci-dessus elle référencée aux mêmes Archives de Maine et Loire : H.3357 IV. Voir la traduction de cette "copie originelle" au chapitre : Les chartes judiciaires et religieuses. 1201. Première apparition de la paroisse de Lanualae.                                                                  L'existence d'Eudes est reprise dans une autre charte, non datée celle-ci, reprenant un litige ayant opposé les possesseurs de la terre et moulin de Quincombre au prieuré du Pont ces derniers ayant été dans l'obligation morale de reconnaitre les aumones que feux leurs ancestres avaient offert aux moines du dit prieuré. Ces moines en effet, par ce même don religieux,  avaient reçu les dites terres de Quincombre et son moulin. Nous ne détaillerons pas ici ni l'histoire de cette terre ni l'histoire de son moulin, tous deux apparaissant donc dès vers 1200, puisque cela est déjà un travail en cours de réalisation, travail mené par Daniel Brandily de Pleudihen. Nous n'expliquerons pas non plus la transcription de la charte relative au moulin de Quincombre laquelle fait partie aussi du même travail. Nous ne présentons ici ces deux chartes que parce qu'elles sont les deux plus anciennes chartes présentant l'orthographe écrite de notre commune et attestant l'existence même de notre paroisse dès la fin du XII siècle.

     

     

     

    Son origine orthographique et religieuse

     

     

    L’apparition de la forme écrite de Lanvallay, patronyme étudié au travers de ses premiers seigneurs, surgit pour la première fois dans la seconde moitié du 12ème siècle en la personne de William de Lanvallei lequel devint sénéchal de Rennes pour le roi Henry II d’Angleterre avant d’être confirmé gouverneur héritier du castel de Colchester, en Angleterre, par ce même prince (En notre commune de Lanvallay ce patronyme apparaît pour l’une des premières fois, en 1219, lors des décès de Guillaume et de Roland de Coëtquen. Le nom de notre commune est alors orthographié Lanvalei. La toute première fois que cette appellation apparait au titre de notre "paroisse" reste cependant l'année 1201 cela dans une charte datée et aujourd'hui micro-filmée aux Archives départementales des Côtes d'Armor. Cette charte provient des Archives d'Angers et contient le terme suivant: Parrochia Lanualae. Cette charte met donc en scène la paroisse de Lanvallay et la chapelle du port de Dinan l'église paroissiale de Lanualae étant alors déposée entre les mains d'Eudes chapelain de Lanvallay: oze de pore de Dinan et eudone capellan  de Lanualae...parrochia Lanualae et capella de pore de Dinan.

    Une autre date, avec sa charte bien sur,  est importante pour nous; c'est celle de l'année 1132 année bien antérieure aux dites années 1201 et 1219 toutes deux citées ci-dessus. Pourquoi cela ? cette charte est probablement celle en laquelle apparait pour la première fois en notre histoire le nom écrit de notre paroisse même si celle-ci n'est pas directement citée il est vrai. En effet en cette charte écrite en 1132 sera seulement citée "l'église" de Lanvallei. et cela au travers de son Saint-Patron, Saint-Méen. Mais si l'église de Lanvallei existait en la dite année 1132 est-ce que sa paroisse elle n'existait-elle pas déjà ?

     

    Dans les chartes les plus anciennes, et notamment au travers du premier seigneur de Lanvallay cité, nous rencontrons souvent l’écriture Lanuualei pour Lanvallay, le W ayant entre temps remplacé les deux lettres associées du U comme dans Riwal lequel s‘écrivait, au IX  siècle, Riuuall,  Riuual donnant par la suite le prénom Riwallon et cela dès le XI  siècle). 

    L’écriture d’une même langue, dans son ensemble, a toujours suivi une évolution linguistique naturelle même si les formes écrites de nos patronymes, aujourd’hui, nous semblent êtres revêtues d’une puissante rigidité orthographique. Cette rigidité orthographique, propre aux patronymes, est toutefois récente dans le temps. Pour quiconque étudie les actes anciens liés aux baptêmes ou aux décès, les différences orthographiques apportées à un même patronyme sont en effet monnaie courante tout au long du 17ème siècle. Ces modifications successives peuvent souvent représenter un important faisceau d’incertitudes pour quiconque étudie une même généalogie.

    Le nom de Lanvallay a donc connu lui aussi plusieurs formes d’écritures orthographiques. Notre commune de Lanvallay, d’un autre côté, a-t-elle toujours été nommée de ce même nom quelle que soit l’écriture alors utilisée ? Depuis quant a-t-elle pris ce patronyme ? Trouver aujourd’hui la période exacte de l’histoire durant laquelle ce nom fut utilisé pour la première fois nous ait actuellement impossible (L’apparition de ce patronyme apparait à la fin du 12ème siècle en la personne du seigneur William ou Guillaume de Lanvallei ou Lanuualei ; le patronyme en Angleterre n’étant pas encore généralisé. Dans un acte de justice, rédigé à la fin du 12ème siècle, nous apprendrons que Jean de Lanvallei était le petit-fils d’Alain lui-même dit fils d’ Henri. En Angleterre, de nombreux seigneurs furent ainsi nommé fils de, tout comme Warin 2ème du nom lequel sera nommé Warin Fitzwari. William de Lanvallei, dans des écrits rédigés au 17ème siècle et lui étant consacrés s'écrira en vieux François également William de Langvale. Aussi quels sont les liens orthographiques ayant unis hier les termes et de Lanuualei et de Langvale ? Quelles sont les origines mêmes de cette transformation orthographique ? Il est à ce titre difficile aujourd'hui de prendre pour seule origine possible de ce patronyme l'existence même d'un petit moine relevant de la tradition dite populaire, Balao, lequel passe pour être la seule origine orthographique possible de l' appellation de notre commune, petit moine ayant vécu plus de 6 siècles avant même l'apparition de la première écriture de Lanuualei).

    J’aurai pourtant personnellement aimé savoir si notre commune, par exemple, s’appelait ainsi avant l’apparition de ce seigneur nommé William de Lanvallei. J’aurai de nouveau aimé pouvoir savoir si notre commune était antérieure ou postérieure à l’apparition du prieuré du port à Dinan. Lequel des deux a précédé l’autre ? (avec déjà la présence citée, entre 1070 et 1118, d'un bourg dit aux moines au Pont à Dinan lorsque fut décidée la fondation du prieuré du pont à Dinan, tout laisse à penser que ce même bâti, celui du dit bourg aux moines, peut donc être effectivement antérieur à l'apparition même de la paroisse de Lanvallay).  Le nom de notre ancienne paroisse est-il le fruit d’une association linguistique et si oui, comment cette évolution patronymique a t’elle pu se réaliser ? Une seule réponse apportée à l’une de ces questions aurait le mérite de soulever, même légèrement, le voile jeté ici par ces mêmes incertitudes.

    Aujourd’hui, l’origine du nom donné à Lanvallay semble provenir d’un Saint prénommé Valay (ou Saint-Balay). Ce dernier, au 6ème siècle, serait un moine en provenance du monastère de Landevennec (Saint Valay fait effectivement parti intégrante de ces différents Saints faisant tous partis de la Tradition dite Populaire) ; il aurait donc été un disciple de Gwenolé puisque ce dernier est le fondateur attesté de ce monastère lequel fut bâti vers 485. (Ce monastère est situé dans le Finistère, baigné par L’Aulne. Saint Gwenolé fera ériger ce monastère à la demande de Saint-Patrick lequel décèdera en 461. Pour essayer de mieux comprendre les motivations de la retraite de Saint-Valay en notre région et de son éventuel travail d’évangélisation, nous avons, pour cheminement principal, le déroulement de la vie spirituelle de Saint-Patrick apparut en songe à Saint-Gwenolé.) 

     

     

    Cet établissement religieux respectera très longtemps la règle celtique d’Irlande. (Variante du Christianisme propre aux pays celtiques évangélisés par Saint-Patrick à partir de 432. Cette forme religieuse chrétienne est sensée s’être arrêtée en 818 au monastère de Landevennec lequel adopte alors les règles de St-Benoit. Malgré toute son autorité, l’église n’arrivera cependant pas immédiatement à stopper cette façon de pratiquer la religion catholique. Ces racines religieuses celtiques subsisteront encore longtemps en Irlande et en Bretagne, ce mouvement perdurant au travers des cultes de St-Yves né en 1253 et de Ste-Anne notamment. Aujourd’hui, l’église peut rencontrer encore certaines traces de ce paganisme. Paragraphe tirés du livre de Christian Guyonvarc’h titré « Les Royaumes celtiques »). 

    Pendant toute la première moitié du premier millénaire, l’Europe, délimitée par les pays du Maghreb au sud, par la mer noire à l’Est et les terres situées au sud de l’Ecosse, (Jean Guiffan, Chargé d’enseignement à l’université de Nantes, « Saint Patrick et la christianisation de l'Irlande », 2002) due subir les vagues migratoires successives germaniques. Pendant cette même période interminable, les différentes terres celtiques, l’Irlande notamment, furent coupées de Rome et de son empire. Elles seront donc également coupées du Vatican et de son enseignement religieux aussi. Les premiers missionnaires ne viennent en Irlande que dans la fin du 4ème siècle, peu de temps avant Saint-Patrick. Presque tous originaires du continent, ils abordent alors une terre druidique, terre encore vierge de toute mission évangélisatrice.

    Saint-Patrick est un jeune breton né dans le nord de l’Angleterre, vers 390. Jeune enfant, il est enlevé à ses parents et emmené en Ulster. Sur cette terre irlandaise, pendant plusieurs années, il va servir un maitre druide. Sa vingtième année passée, il parvint à regagner son Angleterre natale puis, peu de temps après, il rejoint la Gaule pour commencer une formation religieuse.

    Saint-Patrick retourne en Irlande en 432 pour rependre l’évangélisation de cette terre toujours celtique et dans sa religion et dans ses mœurs. Il semble l’avoir évangélisé avec beaucoup d’amour, une très grande sincérité aussi; l’ile, à sa mort, était entièrement christianisée au travers du principe du monachisme d’alors. La vieille religion druidique, par toute l’attention et la douceur de St-Patrick, a pu ainsi, semble t’il, entièrement s’intégrer dans la nouvelle religion d’Irlande et cette dernière héritera ainsi de toute une partir de cette ancienne culture druidique ou païenne.

    L’église nouvelle d’Irlande, œuvre de Saint-Patrick, sera pendant les deux siècles suivant une église basée essentiellement sur l’organisation monastique. Elle se différenciait de l’église de Rome par une autre conception de la Foi et de sa mise en pratique. La notion de l’ascétisme y était très développée et les ermites probablement fort nombreux. Certaines de ses règles, très pures, (elles seraient probablement aujourd’hui des règles dures et physiques) étaient en complète opposition avec Rome. Pâques connaissait, par exemple, une date différente, le baptême possédait un autre rite et la tonsure des moines n’était pas identique aussi.

    La responsabilité de cette jeune église sera très importante tout au long du 6ème et 7ème siècle. Elle sera, en effet, le refuge du Christianisme occidental pendant les dernières vagues des migrations germaniques (Jean Guiffan, même livre).

    Toutefois, par l’intermédiaire de la conquête anglo-normande et de l’établissement de monastères venus du continent, le Vatican réussira, au 11ème siècle, à repositionner définitivement sous son autorité la jeune église d’Irlande et cela sera la fin de ce monachisme propre à l’Irlande et voulu par Saint-Patrick.

    (Pendant tout le haut moyen-âge, les monastères vont s’étendre dans toute l’étendue du monde chrétien et laisser ainsi leur empreinte. Monastère : de monachisme. Forme d’enseignement religieux catholique née au 4ème siècle dans laquelle les monastères et les moines se présentent comme étant les nouveaux et véritables Guides spirituels.) Mais revenons à Saint-Valay.

     

     

    Nous n’avons aucune autre information personnelle et réelle sur Saint-Valay. Ce dernier s’appelait Balae, semble t-il, dont la forme ancienne serait Bachla. La transformation orthographique a pu transformer le B et V et nous avons ainsi Valae au lieu de Balae. En vieux breton, Lan signifie Ermitage. En langue celtique, Bach signifie petit et Lae signifie fidèle ou religieux, soit le petit religieux. Nous avons donc l’apparition de l’écriture Lanvalae (ou Lanbalae. Rappelons toutefois que la forme la plus ancienne rencontrée, dans des actes rédigés au 12ème siècle, reste Lanuualei. Dans un texte plus tardif, écrit au 16ème siècle, lequel décrit les raisons du mariage de William de Lanvallei, texte écrit en vieux françois, William est cité William de Langvale) pour l’Ermitage du petit religieux. Au 12ème siècle, dans les actes latins écrits et rencontrés, le patronyme de William de Lanvallay s’écrivait tantôt Lanuualei,  Lanvalae ou Lanvalaio. Le nom latin de notre paroisse, au 13ème siècle, s'écrivait Lanvalei. A la fin du 18ème nous rencontrons la forme francisée de Lanvalay avec un seul L; enfin, aujourd'hui, l'orthographe de notre commune est Lanvallay avec deux L. Depuis le 17ème siècle la forme Lanvallay avec ay en terminaison orthographique, que cela soit avec un seul ou deux L, est la plus présente...                                         La première branche seigneuriale des seigneurs de Lanvallay, laquelle s'établie aussi en Angleterre dès la fin du 11ème siècle, branche que nous allons très bientôt survoler, s’écrira donc soit Lanuualei, soit Lanvalaio, soit Langvallé, soit Lanvalé, soit Lanvallee, soit Lanvalai, soit Lanvallei et plus tard, au18ème et 19ème siècles, même la Vallet aussi. Nous voyons donc ici même la richesse linguistique apportée à ce même patronyme depuis sa première apparition orthographique. Alors quand est-il de l'origine exacte de l'écriture de notre commune ?  Est-elle véritablement unie au prénom de ce petit ermite ?                              Notre Histoire régionale et traditionnelle garde toutefois la conviction que ce petit ermite vint de Landevennec pour s’isoler et s’établir au bord de notre rivière, la Rance. (L’abbé Joseph-Malo de Garaby, dans son ouvrage écrit en 1839, ouvrage traitant des différents Saints bretons, l’assigne cependant en tant qu’ermite retiré dans sa foi sur la montagne de Penflour, près de Châteaulin.) 

    L’orthographe de Lanvallay se veut  donc être ainsi et aujourd'hui le témoin même de la présence de Saint Balae hier présent en notre contrée. Quelle a été la portée post-mortem du rayonnement spirituel de ce petit ermite si ce dernier a vraiment existé ? Nous n’avons, sur ce point précis, aucune réponse à apporter. Cette portée, si petite soit-elle, à cependant su laisser ici une partie d’elle-même. Une autre ville, toute proche de notre commune, porte également dans son nom la trace de la présence supposée de ce petit ermite. Il s’agit de Ploubalay. Ploubalay ne veut-il pas dire paroisse de Balae ?

    Toujours est-il que la formation étymologique de notre paroisse s’est faite entre le 6ème siècle et le milieu du 11ème siècle, entre l’éventuelle venue de Balae en nos terres et la première écriture lue de Lanvallay en la personne de William de Lanvallei cité sénéchal de Rennes pour Henry II roi d’Angleterre (Certaines personnes pensent que Balae aurait pu établir son ermitage en partie basse de notre commune, proche du rocher d’Alcaïs, l’actuelle Courbure. Très tôt dans le Temps, à la base de ce rocher et posée dans les méandres de la rivière, fut établie une petite chapelle laquelle, dans le courant du 17ème siècle, répondait au vocable de Notre Dame de Bon Réconfort. Cette chapelle est citée pour la première fois en 1330. Elle disparue définitivement à la fin du 19ème siècle; elle relevait alors du chapitre de Saint-Malo de Dinan). 

    La seconde lecture de ce patronyme est celle d’Ivo de Lanvallei lequel personnage a été inscrit dans un Rotuli curiae Regis établit en 1190 (Rotuli curiae Regis : Registre formé d’un rouleau de papier tenu par des juges itinérants anglais pour pouvoir enregistrer toutes les amendes judiciaires afin de pouvoir les ramener aux shérifs et êtres ainsi rendues au trésor public du Roi d’Angleterre). La famille seigneuriale anglaise de Lanvallay sera à l’origine d’une baronnie irlandaise dite de Lanvallei laquelle sera apparentée à la couronne d’Ecosse au 13ème siècle. En conclusion, notre commune, par son appellation, plonge ses racines dans l’enseignement spirituel de Saint-Patrick ; elle possède donc toujours, par son patronyme même, des liens affectifs avec une certaine page de l’Histoire d’Irlande.

     

     

     

    Jean Pierre Fournier 

     

     

     

     

     

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  • Commentaires

    1
    jply
    Mardi 22 Novembre 2011 à 10:18

    Saint Valay


    Il est communément admis que Saint Balay, ou Valay, quitta Landevennec vers 536 avec la permission de Saint Gwenolé, pour établir son ermitage sur la colline de Penflour, à Chateaulin.
    N'est-ce pas bien loin de Lanvallay et de Ploubalay, qui cependant se réclame de ce saint homme ?


     

    2
    jply
    Mercredi 23 Novembre 2011 à 10:58

    Saint Valay.


    Bonjour,


    Ne prenez surtout pas ma question en mauvaise part, je ne vous querelle pas sur la présence du saint homme sur vos terres.  Il n'existe pas davantage de traces prouvant son séjour à Penflour.           J'espérais seulement en apprendre un peu plus sur sa vie de saint, dans la région de Dinan où deux paroisses s'honorent de porter son nom, que ce qui figure dans Wikipedia.
    Merci de m'avoir répondu.
    Bien cordialement, J.P Balaÿ, région Lyon.

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