•  Nos maires...

     

     

    Notre travail...  

    Les acteurs contemporains

    Monsieur Adolphe Castel maire de Lanvallay de 1959 à 1981. Sous son mandat la commune de Lanvallay connu le premier essor les champs commençant à céder leur place à un urbanisme nouveau accueillant les premiers lotissements de la commune. Monsieur Castel fit trois mandats avant de se retirer volontairement. Négociant en vin il fut à l'origine des Chais de la commune de Lanvallay; chais aujourd'hui disparus et remplacés par des appartement d'un certain standing. Son premier adjoint en 1981, alors monsieur Brasset, devint maire; lui même en 1995 laissera son siège de premier magistrat de notre commune, cela deux mandats après, à son propre premier adjoint monsieur Jean-Yves Delarocheaulion.  

     

     

    Notre travail...Notre travail...Nos maires, hier et aujourd'hui... 

     

     

     

     

     

     

    Monsieur Jean-Yves Delarocheaulion                                                                      Monsieur Bruno Ricard

     

    - 1994-2014. A gauche monsieur Jean-Yves Delarocheaulion banquier et maire de Lanvallay entre 1994 et mars 2014. C'est sous son mandat que fut commencé un projet de jumelage devant à terme unir nous l'espérons, cela par une ancestrale Histoire  commune,  et la paroisse de Walkern du comté de Hertfordshire en Angleterre et notre commune de Lanvallay en Bretagne.  Ayant été conseiller puis 1er adjoint de monsieur Brasset, maire de Lanvallay, monsieur Delarocheaulion devint maire de notre commune en 1994 prenant le flambeau des mains de ce dernier lequel, lui même, le détenait de monsieur Adolphe Castel. Il ne fut pas réélu en mars 2014 dernier mettant fin ainsi à une "continuité" de près 55 ans. Sous ses mandats furent réalisés en autre de nouveaux lotissements,  l'extension et la réhabilitation de la mairie,  la nouvelle école maternelle et une nouvelle zone commerciale laquelle vit venir en son aire un grand Super U. Sous son mandat ont définitivement fusionné les anciennes communes de Tressaint, Saint-Solen et Lanvallay alors toutes trois simples communes associées. 

    - A droite monsieur Bruno Ricard lequel remporta avec les siens les élections municipales de Lanvallay le 23/03/2014; son mandat devrait logiquement pouvoir voir mener à son terme ce jumelage que nous souhaitons sincère et personnellement "culturel". Bruno, jeune maire de 45 ans, est de son métier "Ingénieur en génie civil et urbanisme. Avec monsieur Henry Delaune et des très fidèles dont Régine Mahé, Alain Vadepied, Haude Lecointre, Jean-Claude Lefèvre, David Briand, Sophie Troubadours, Claire Secher  et moult d'autres aussi il dirigea de façon"collégiale " et pendant plus de 6 ans un groupe de travail lequel créa ainsi  une forme" d'opposition constructive et ouverte" appelée : "Lanvallay Autrement ". Leur attentivité, leur assiduité et leur sérieux, tous trois associés à une sincérité certaine, firent qu'ils remportèrent les dernières élections municipales 13 voix ayant été nécessaire pour cela . Il me faut personnellement reconnaitre apprécier en Bruno un homme d'une rare qualité. Ce jumelage, s'il s'établit entre ces deux villes soeurs, devra se construire et s'appuyer sur des liens culturels.  

     

     

    Notre travail...

    Elections municipales de Lanvallay; avril 2014.

    En démocratie le "Renouvellement" est quelques fois l'un des ciments de l'Histoire...

     

                                       


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  •  le samedi 17 janvier 2015

    Le viaduc, lettre ouverte à la Région de Dinan...

    Présentation de notre travail...

    Le viaduc de Lanvallay sous les remparts de Dinan; depuis le Mont en Va vues de l'église de Saint-Sauveur de Dinan, de l'église de Saint-Malo de Dinan, de la poterne et de la tour féodale de Sainte Catherine également. 
     

     

     

    Présentation de notre travail... Présentation de notre travail...

     

     

     

     

     

     

     

     

     

    Un nouveau visage pour le Viaduc... 

     

    Le viaduc de Lanvallay ou de Dinan, de Lanvallay en réalité puisque sa plus grande distance enjambe elle notre commune de Lanvallay, offre ou offrait jusqu’à hier sur son dessus l’une des vues les plus remarquables de toute notre région proche de Dinan. Tant décrié lors de sa réalisation ce viaduc a su toutefois très tôt prendre le cœur de l’ensemble des habitants des régions proches et lointaines de Dinan tant son intégration fut parfaite en son site portuaire et cela au lendemain même de son édification religieusement consacrée en 1852.
    Si sa belle et longue enjambée aux arches multiples par beaucoup et depuis longtemps est appréciée et aimée, si ses pierres taillées et colorées lui donnent aujourd’hui pour la plupart d’entre nous une élégance, majestueuse et certaine, il est vrai toutefois que moult vies, ici même sur ce seuil élevé, pour toujours se sont trop souvent et régulièrement retirées du monde des vivants. La société dans l'un de ses multiples fonctionnements humains est tristement ainsi faite et tous nous ne pouvons que très sincèrement le regretter. 

    Il en a toujours été ainsi malheureusement pour la plupart des ouvrages naturels ou édifiés, tous géographiquement posés ou assis haut au dessus du sol ; le viaduc de Saint-Brieuc ainsi fut-il lui aussi protégé, par des filets pour celui-ci, mais insuffisamment semble t-il puisque ces mêmes filets aujourd'hui sont enjambés. Demain en sera-t-il ainsi mais plus judicieusement pour celui de Jugon les Lacs alors enfin protégé ?
    Ma pensée en cette heure, maintenant que j’écris ces quelques lignes, cela par la seule force de nos sentiments, va donc naturellement vers toutes ces vies sur ces ponts brisées et en ces mêmes lieux définitivement achevées. La détresses depuis très longtemps ici aussi, sur notre beau viaduc de Dinan, jette trop régulièrement sur ce bel ouvrage ancré à l'Histoire une image alors toujours sombre et tragique.
    Au nom de toutes ces ombres ici errantes je comprends donc personnellement les travaux aujourd’hui réalisés lesquels, demandés depuis si longtemps par tant de pères, tant de mamans,  ont été enfin décidés pour pouvoir remédier définitivement, et cela sur notre propre viaduc, à tous ces élans toujours aspirés par leur propre désespoir. A la marge de ce texte pourquoi aujourd'hui, en notre actuelle société, nous contentons-nous toujours de cette seule et même réponse apportée tôt ou tard à ces mêmes lieux comme actuellement on le fait à Dinan ? Pourquoi devons nous en permanence parler que de la seule  mortalité importante des accidents provoqués sur nos routes passant ainsi toujours sous un certain silence le départ toujours volontaire de tous ces enfants ou parents lesquels, tous poussés à ce "geste extrême", deviennent alors également nos propres enfants ou nos propres parents ? En quoi conjointement sommes nous tous  responsables de cela ? Devons nous avoir pour contrer ces ultimes échappatoires que cette seule et identique réponse ?

    Habitant personnellement au pont de Dinan, proche du viaduc, et ayant malheureusement assisté à plusieurs de ces ultimes départs trop souvent réguliers et donc jamais isolés, cela malgré certains propos prononcés,  aussi je ne remets  nullement en question le pourquoi de ces mêmes travaux; loin de là est ma pensée. Décidé et organisé par la Région et son Conseil, financé en très grande partie par celui-ci ce dernier étant seul propriétaire de l’ouvrage, ce projet malheureusement ne semble pas avoir suffisamment concerté les habitants des villes de Dinan et de Lanvallay toutes deux villes chargées elles aussi par l’Histoire. En effet à peine commencée moult habitants dinannais et côtissois, lesquels toutefois comprennent l’impératif de ces travaux sachez le, reprochent déjà à cette réalisation son côté trop "austère" rappelant fréquemment pour ces derniers la seule image des longues grilles crossées s'étirant sans fin en des cours carcérales, prisons de laquelle tant de vies ici même, trop souvent, ont voulu définitivement pouvoir s’échapper. Qu'elle ironie de l'Histoire! Une oeuvre esthétiquement plus ouvragée, plus "humanisée", possédant des fers forgés aux volutes ou formes diverses et esthétiques par exemple, possédant régulièrement par endroit un espace évidé à hauteur du regard, cela pour permettre et d’assouplir l’ouvrage et de prendre des photos par exemple, oeuvre alors fruit d’une recherche plus humaine, moins stricte et donc plus attentive à ce site aussi, ne se serait-elle pas mieux intégrée au panorama ici très beau du port de Dinan et cela en respectant d’avantage ce lieu hier ouvert, ancien et si magnifique ? Cette "uniformité" de crosses sans fin, cela à l'image des filets gris et froids du viaduc de Saint-Brieuc, pour tout piéton ou vacancier parcourant de son intérieur notre long viaduc, devenu "qu'un simple grand couloir enfermé ou sur protégé",  ne rappellera t-elle pas trop souvent toutes ces heures ultimes et si tristes ici si souvent laissées ?

    Cette pensée, ma pensée, même si celle-ci reprend d'autres pensées bien sur, je le répète ne remet nullement en cause la nécessité même de ces travaux; elle reste ici en ce texte une simple interrogation toute personnelle penchée elle sur un choix esthétique  retenu...

     

    Présentation de notre travail...Présentation de notre travail...

     

     

     

     

     

     

     

     

    Toujours aujourd'hui ...Photographies prises du dessus du viaduc en ce jour du 17/01/2015.


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  • En dernière infos ...

    Ecrit le vendredi 1 mai 2015

    Depuis bientôt une année la mairie de Lanvallay et l’ensemble de ses nouveaux élus œuvrent ensemble au "bien vivre ensemble " aussi. Ainsi de nombreux groupes de travail, chacun guidé par un ou plusieurs élus, ont-ils été "créés" pour pouvoir travailler de concert avec la population Côtissoise conscients qu'ont les élus de l'importance de celle-ci. Pour illustrer cela il existe un groupe de travail lequel lui a choisi d'oeuvrer sur l’ensemble des problèmes liés à la circulation routière ; de même il existe un groupe de travail dédié lui à la valorisation de l’ensemble de nos promenades, que ces dernières soient cyclables ou pédestres, prenant aussi en compte l'importance de notre histoire locale au travers de la richesse de son bâti. Il existe aussi un autre groupe de travail dédié lui au « bien vieillir ensemble », groupe très important puisque celui-ci a pour but premier  d’essayer notamment de faire disparaître certaines des frontières séparant socialement moult habitants de notre commune la barrière de l’âge étant l’une de ces plus fortes frontières ou pierres d'achoppement. Le grand et dernier logement de nos "Anciens" depuis peu à vu ainsi l’un de ces remparts tombé à terre ces derniers assistant depuis leurs chambres à l’ouverture d’une nouvelle perspective pleine de vie et de lumière. Pourquoi notre société actuelle semble t-elle vouloir tant opposer le monde de nos aînés âgés au monde beaucoup plus jeune de nos propres enfants ? Certaines rides profondes ne sont-elles pas le reflet d'une sagesse sincère et d'une grande gentillesse ? Les rides n'écrivent-elles pas quelques fois certaines pages de notre propre histoire ? Aussi pourquoi voulons nous "contenir" nos parents vieillissants au derrière de verts bosquets, bosquets naturels certes comme ici même hier, mais bosquets séparant trop souvent deux mondes, deux mondes pourtant si proches l'un de l'autre ?  Le dernier chemin de nos aînés doit-il être que cela ? Le rire de jeunes enfants jouant au plus près de nos dits aînés, cela au seuil même de leurs dernières fenêtres, ne peut-il pas à lui seul apporter un certain réconfort, même si il nait que "passager", à tout un ensemble de nos vieux parents trop souvent par nous oubliés, parents isolés marchant quelques fois dans une pénombre accompagnée de la seule sollitude ? Ainsi notre Hepad, hier presque clos, a-t-il vu récemment un ancien monde mais si jeune à lui s’ouvrir de nouveau ; ainsi des aires de jeux, depuis peu installés au plus près des chambres de nos ainés, vont-ils permettre bientôt à ces mêmes aînés d’entendre régulièrement à nouveau des éclats de voix emplis du seul rire de nos enfants...
    Au dehors de l'Hepad une aire de lecture publique, hier ancien bassin d’eau, a été depuis peu également installée et cela au plus près de nos dits vieux parents ; imaginez assis en cet endroit l'été prochain, cela côte à côte bien sur, et l’un de nos parents en notre Hepad résidant et l’un de vous alors assidu lecteur autonome et indépendant ! J’aime personnellement m’imaginer dès ce soir sur ces bancs récemment agencés, eux voués à la lecture et au repos,  l’amorce d’une conversation naissante, certes peut-être banale mais oh! combien humaine.  Je souris déjà à la pensée de pourvoir voir l’été prochain naitre sur ces mêmes bancs, en ce même endroit notamment, mille regards de nouveau complices unissant au travers de nos âges multiples et certains de nos aînés et certains de nous-mêmes ! Il existe dans cette nouvelle équipe municipale, emplie d'espoir il est vrai, un sentiment très profond et d'équité et d'échanges, équipe consciente de l'importance réelle de "l'Autre". Les jardins partagés portés par Thierry Nicolas, en cours d'installation  en notre commune, ne sont-ils pas le reflet de cette "conception de l'Autre" ?
    Je voulais ici en mon travail témoigner de cela aussi.

    J'ai donc ici une très grande pensée personnelle pour Régine et pour madame Logan lesquelles toutes deux, de toute leur sincérité et de toute leur humanité, ont ensemble œuvré et permis cela Merci à elles.

     

    Présentation de notre travail...Présentation de notre travail...

     

     

     

     

     

    L'Hepad, sa nouvelle perspective et son Ouverture sur le salon de lecture

     

     

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    A Saint-Solen aussi ...


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